« Une politique se juge par ses résultats. » Charles Maurras

Le RF manifeste contre la christianophobie

Le RF était présent à la manifestation contre l'anti-christianisme de Civitas, derrière la banderole "Français, suivez le vrai berger !". Slogan qui faisait allusion à Pierre Bergé, financier du lobby homosexuel et militant anti-catholique virulent.
 Il avait déclaré sur les antennes de RTL France : « Je suis pour la suppression intégrale de toutes les fêtes chrétiennes en France ».
Le seul véritable berger, c'est le Sacré-Cœur que nous portions sur nos drapeaux "espoir et salut de la France" durant cette marche.




Pour voir la vidéo de la manifestation, c'est ici.

Staline, la cour du tsar rouge

Pour ceux qui cherchent de la lecture, nous recommandons "Staline, la cour du tsar rouge" de Simon Sebag Montefiore.

Par son livre, Montefiore nous plonge dans une fresque d'horreur et de perversion, celle du système stalinien. Il y décrit la cour des meurtriers qui cherchent à tout prix à satisfaire les désirs du maître du Kremlin.
Une cour de sanguinaires que n'arrêtait ni les déportations ni les massacres.

On retrouve toute la clique tristement célèbre de Staline: Lakoba, Beria, Meklis, les frères Ordjonikidze, Kaganovitch, Kirov, Yagoda, Ejov...
Massacres et famines exterminatrices, camps d’extermination, tortures et exécutions ininterrompues dans les geôles de la célèbre Loubianka, c'est une descente en enfer communiste que Montefiore nous fait endurer.

On y découvre un Staline monstrueux qui  prend plaisir a jouer avec ses créatures aussi perverses que lui. Les exterminateurs staliniens n'ont d'ailleurs jamais cessé de s'exterminer entre eux à la grande joie du petit père des peuples. Staline qui fera tuer la plupart de ces proches et qui ira même jusqu'à persécuter sa propre famille.
Dans la cour de Staline, si l'on veut survivre, il faut tuer ou être tué, torturer ou être torturé.
Un livre passionnant dont il est difficile de décoller avant la fin !

Le traître Fabius rend hommage au bourreau Giap !


L’ignominie est à son comble avec les récents propos du ministre « français » des Affaires étrangères, concernant la mort du général Giap, qui dirigeait l’armée viet-minh contre les Français et leurs alliés vietnamiens.
Giap fut un bourreau pour son peuple, responsable de la mort de centaines de milliers de Vietnamiens, notamment catholiques ou membres d’ethnies minoritaires.
Le vainqueur de Dien Bien Phu fut aussi un responsable du sort de dizaines de milliers de soldats français, qui sont restés prisonniers des années dans les camps communistes viet, dans d’horribles conditions et avec un taux de mortalité très élevé.
C’est probablement ce qui motive secrètement l’admiration d’un individu comme Laurent Fabius.

Pour l’honneur de notre armée, de nos anciens, des Français et de leurs amis indochinois morts là-bas, il est urgent que Fabius et la clique socialiste quittent le pouvoir et répondent de leur comportement devant une justice française restaurée.

Résistons à la coallahboration !


Je ne suis pas islamophobe, je ne suis pas hostile à l’islam, je ne suis pas en guerre contre l’islam.
Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres.
Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas. Un point c’est tout. Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l’islam à prospérer en France. Je nie que l’islam soit une religion.
C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens “y compris légaux”.
Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs.
Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien.
Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”. Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste.
Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France. Aucune oeuvre d’art, on l’a vu. Aucune oeuvre de charité non plus. Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative.

La Varende, un grand écrivain normand

Un écrivain à découvrir ou à redécouvrir !

 Jean de La Varende (1887 - 1959) naît au château de Bonneville, commune de Chamblac (Eure), le 24 mai 1887. Il est le troisième enfant, né de Marie Charles Gaston Malart de La Varende et de Laure Floriot de Langle. Son père décède quelques jours après sa naissance. Aussi, après trois ans de veuvage, sa mère, ne se sentant plus d’attaches en Normandie, quitte le Pays d’Ouche pour s’installer à Rennes dans un bel immeuble au Contour de La Motte. Jean fait, dans la capitale bretonne, ses études, qu’il terminera au collège Saint-Vincent.
En 1905, il a 18 ans. Il ressent douloureusement la loi de séparation des Eglises et de l’Etat et son corollaire : les inventaires. La république anti-religieuse, après avoir chassé de nombreuses Congrégations, avait donné l’ordre à la force publique de pénétrer, même par effraction, dans les églises et les lieux de culte pour inventorier les meubles et objets s’y trouvant. Ces pénibles événements contribueront à consolider chez La Varende son attachement aux valeurs traditionnelles dans lesquelles il a été éduqué.
 Reçu au baccalauréat, il entre à l’école des Beaux- Arts de Rennes. C’est à Paris, ville qu’il n’aima jamais, qu’il achèvera ses études dans cette filière. Jean était d’une santé fragile et d’une très vive sensibilité. Malgré son profond désir de servir sa patrie en 1914, il est réformé et sera affecté comme infirmier dans les services auxiliaires.
Jean de La Varende est aujourd'hui un auteur peu connu. Il fait l’objet de l’ostracisme des révolutionnaires de tout poil qui exercent une véritable dictature sur la littérature française. Heureusement, depuis quelque temps, des efforts méritoires sont entrepris pour le faire apprécier.